« Un murmure intense est plus puissant qu’aucun éclat de voix » par Annick FIASCHI-DUBOIS
« Un murmure intense est plus puissant qu’aucun éclat de voix » par Annick FIASCHI-DUBOIS Dans son ouvrage Opéra et Drame publié en 1851, R. Wagner donne
Le Cercle Richard Wagner vous informe en permanence.
« Un murmure intense est plus puissant qu’aucun éclat de voix » par Annick FIASCHI-DUBOIS Dans son ouvrage Opéra et Drame publié en 1851, R. Wagner donne
Tristan et Isolde de Richard Wagner (version de concert)
Une version « mise en espace » qui se rapproche, en l’occurrence, d’une version scénique Dans l’art lyrique on distingue traditionnellement trois formats de représentation
Le Théâtre d’État de Salzbourg propose actuellement une nouvelle production du Fliegender Holländer de Richard Wagner dans une mise en scène de son directeur Carl Philip de
A découvrir une Série de vidéos intitulée « Salut les classiques ! » sur la chaîne Youtube « André Peyrègne ». Ces vidéos d’1 minute 30 présenteront des chefs
« Walkyrie – Une peinture en résonance avec Wagner » Ces peintures et ces encres sur toiles sont nées d’un écho profond aux accords de
Conférences – Opéra de Nice Samedi 4 octobre 2025 au Foyer à 15H00 : « Charles Garnier 1825-2025, 200 ans plus tard. » André PEYREGNE
Retour en images : Texte de présentation de la conférence à télécharger ci-dessous : ******************************************************** « Johann Strauss ou l’Empereur de la Valse (1825-1899).
Le dernier livre d’André Peyrègne « Petites Histoires féminines de la grande musique » vient de paraitre et se consacre aux femmes
Retour en images : ***************************************************************************************************************************************** Samedi 4 octobre à 15h Foyer Montserrat Caballé – Opéra de Nice : Charles Garnier 1825-2025, 200 ans plus tard
Notre choix s’est donc arrêté sur « MACBETH » de Giuseppe VERDI au Teatro Carlo Felice de Gênes, seul voyage de proximité organisé par le C.R.W.R.D. pour la saison
Fort du recul objectif procuré par les quelques semaines qui me séparent de mon séjour, cet été, à Bayreuth, cité lyrique où je n’étais plus